« Comme un pépin dans une pomme », ce nom m’est apparu comme un évidence en quittant le sol New Yorkais laissant derrière moi son effervescence intemporelle.

Ayant eu l’occasion de déambuler de rue en avenue à plusieurs reprises, je commençais à trouver mes repères dans cet amas de béton, il me fallait donc l’immortaliser.

Nous avons tous découvert cette ville au travers de divers films et séries, nous avons tous eu envie d’y aller, voire d’y vivre, et beaucoup tout comme moi en ramèneront dans leur bagage un peu de son énergie.

La ville qui ne dort jamais, la Grande Pomme, nous avons trouvé beaucoup de surnoms à la ville de New York, mais on ne parle pas beaucoup de ceux qui font qu’elle est New York.

Ce sont eux, les New Yorkais de souche, d’adoption ou de passage, qui m’ont intéressés.

Une pomme ne serait pas sans pépins, il en va de même pour New York City sans ses habitants.

« Comme un pépin dans une pomme » résume ce sentiment d’inégalité de taille d’un pépin par rapport à la pomme qui l’englobe, comme l’humain peut-être happé par les interminables gratte-ciels,

mais conforte ce sentiment d’intouchabilité, de vif espoir qu’apportent ses locataires.

« Arpenter les rues. Traverser la foule. Poser un regard sur les scènes de la vie quotidienne. Capter l’intime dans l’espace publique. Lever les yeux. Découvrir l’original. N’être qu’un petit élément. mais si important. »